La célébration de la fête du vodoun a été un grand moment de communion entre les fidèles de cette communauté à Covè, samedi 10 janvier dernier. Cette cité reconnue ici et ailleurs pour son riche patrimoine cultuel traditionnel n’est pas restée en marge de cette commémoration. Prières, libations, danses d’adeptes du vodoun ont marqué ladite célébration qui a drainé une foule d’adeptes.
Le peuple de Djougou a communié dans l’union, samedi 10 janvier dernier, à travers la fête de la Gaani. Intenses moments de célébration d’une tradition séculaire…
La radio Hosana, la 90.6 FM, la «voix de l’espérance» installée à Porto-Novo n’émet plus. Ses locaux ont pris feu vendredi 9 janvier dernier et une partie importante de ses matériels techniques est partie en fumée. Encore sous le choc, les responsables et le personnel de cette chaîne de l’Eglise protestante méthodiste du Bénin s’en remettent à Dieu pour la reprise des émissions.
Demain samedi 10 janvier, les adeptes du culte vodoun du Bénin comme à leurs habitudes, célèbreront la fête des religions endogènes. Seulement, rien ne présage encore de l’unité tant souhaitée. Ainsi, comme à l’accoutumée, c’est en rangs dispersés que adeptes et dignitaires de cultes vont vivre cette fête qui se veut pourtant un grand moment de prières et d’adorations.
Le théâtre national du Bénin revient sur les planches dans les prochaines semaines. Le cocktail de comédiens de différents acabits qui le composent sont en tout cas prêts et engagés. La création «Tonton Dindin», jouée dans la soirée du mardi 23 décembre dernier au siège du Festival international de Théâtre du Bénin (FITHEB) en est une illustration.
Bien qu’ayant intégré les Droits voisins à son arsenal juridique depuis 2006, le Bénin n’applique pas encore ces droits. Les bénéficiaires n’en savent pas grand chose et le Bureau béninois du Droit d’auteur et des Droits voisins (BUBEDRA) qui en a la charge manque de moyens pour assurer cette mission. Mais cette situation trouve déjà un début de solution, et on peut dire que la mise en œuvre desdits droits n’est plus qu’une question de temps.
Plusieurs emplacements stratégiques de la ville de Cotonou ont changé d’attrait ces derniers jours, du fait des œuvres d’artistes graffeurs. Invités dans le cadre de la deuxième édition d’un festival international de graffiti, ils ont, à travers leurs réalisations, redonné une autre image à la ville, tout en faisant passer des messages de sensibilisation surtout.