26 pays africains ont signé le 8 juin dernier en Egypte, un traité de libre-échange. Sa conclusion suscite beaucoup d’espoirs en vue de la concrétisation du marché commun africain.
La multiplicité des ambitions que s’est fixé le Consortium touristes par millions au Bénin (CTM) n’a pas laissé à ses responsables, la possibilité de souffler, depuis la mise sur pied de ladite organisation. Selon les explications fournies par son président Dine Bouraïma hier, ce consortium qui réunit en son sein des acteurs à divers niveaux de la chaîne de promotion touristique (agences de voyage, agence de tourisme, hôteliers, restaurateurs, compagnies aériennes, promoteurs touristiques…) n’est vieille que de trois semaines à peine. Mais cela est déjà assez suffisant pour frapper à de grandes portes et permettre au groupe d’atteindre ses objectifs.
La multiplicité des ambitions que s’est fixé le Consortium touristes par millions au Bénin (CTM) n’a pas laissé à ses responsables, la possibilité de souffler, depuis la mise sur pied de ladite organisation. Selon les explications fournies par son président Dine Bouraïma hier, ce consortium qui réunit en son sein des acteurs à divers niveaux de la chaîne de promotion touristique (agences de voyage, agence de tourisme, hôteliers, restaurateurs, compagnies aériennes, promoteurs touristiques…) n’est vieille que de trois semaines à peine. Mais cela est déjà assez suffisant pour frapper à de grandes portes et permettre au groupe d’atteindre ses objectifs.
Le Fonds africain de garantie et de coopération économique (FAGACE) a servi de cadre hier, mercredi 3 juin, à la 7è Session ordinaire de son Conseil des gouverneurs. Au regard du rapport de la 42è Session ordinaire du Conseil d’administration de l’institution tenue mardi 2 juin dernier et soumis à leur examen, les participants ont pris d’importantes décisions relatives au fonctionnement, au développement des activités et à l’avenir dudit Fonds.
Le Fonds africain de garantie et de coopération économique (FAGACE) a servi de cadre hier, mercredi 3 juin, à la 7è Session ordinaire de son Conseil des gouverneurs. Au regard du rapport de la 42è Session ordinaire du Conseil d’administration de l’institution tenue mardi 2 juin dernier et soumis à leur examen, les participants ont pris d’importantes décisions relatives au fonctionnement, au développement des activités et à l’avenir dudit Fonds.
Le Tarif extérieur commun (TEC) en vigueur depuis le 1er janvier dernier dans l’espace CEDEAO apporte des changements profonds dans les pratiques douanières des Etats membres. Mais il offre l’avantage d’être mieux loti comme outil de défense commerciale que son ancêtre le TEC-UEMOA.
Le Tarif extérieur commun (TEC) en vigueur depuis le 1er janvier dernier dans l’espace CEDEAO apporte des changements profonds dans les pratiques douanières des Etats membres. Mais il offre l’avantage d’être mieux loti comme outil de défense commerciale que son ancêtre le TEC-UEMOA.
Même si dans les pays de l’Union économique et monétaire ouest africaine (UEMOA), il existe des mécanismes pour faciliter la création des Petites et moyennes entreprises/Petites et moyennes industries (PME/PMI) avec un formalisme allégé, les promoteurs d’entreprises ont trois défis à relever. Mais avant d’y arriver, il va falloir trouver une solution à la question du secteur informel qui occupe une place importante dans les économies des pays de l’Union.
Même si dans les pays de l’Union économique et monétaire ouest africaine (UEMOA), il existe des mécanismes pour faciliter la création des Petites et moyennes entreprises/Petites et moyennes industries (PME/PMI) avec un formalisme allégé, les promoteurs d’entreprises ont trois défis à relever. Mais avant d’y arriver, il va falloir trouver une solution à la question du secteur informel qui occupe une place importante dans les économies des pays de l’Union.
Officiellement réceptionnés en janvier dernier par le chef de l’Etat, les deux nouveaux portiques de Bénin Terminal sont désormais aptes à opérer. Une bonne nouvelle pour le Port de Cotonou dont l’amélioration de la productivité lors des opérations commerciales des navires reste une priorité absolue.