La participation de la délégation béninoise conduite par le ministre des Affaires étrangères et de la Coopération au neuvième sommet des chefs d’État et de gouvernement Acp, les 9 et 10 décembre à Nairobi au Kenya a été l’occasion pour elle d’avoir des discussions avec de hautes personnalités du milieu diplomatique. Au nombre de celles-ci, les échanges avec Jutta Pauliina Urpilainen, commissaire européen aux partenariats internationaux.
Ce n’est pas la première que de hautes personnalités béninoises, notamment les membres du gouvernement et plus particulièrement le ministre des Affaires étrangères et de la Coopération, Aurélien Agbénonci assurent des échanges parallèles à leurs participations à des rencontres internationales. On l’a souvent vu se prêter à cet exercice, du moins bénéfique pour la diplomatie béninoise, qui lui donne l’occasion d’affermir ses rapports avec tel ou tel milieu, ou mieux, d’engager des discussions avec certains milieux. Nairobi n’aura pas échappé à cette tradition, avec la particularité que Aurélien Agbénonci a eu une brève entrevue avec Jutta Pauliina Urpilainen, commissaire européen aux partenariats internationaux. Ce moment d’échange entre les deux personnalités était empreinte de courtoisie et d’écoute mutuelle. Le ministre des Affaires étrangères et de la Coopération en a profité pour rappeler l’excellente qualité des relations avec l’Union européenne et la nécessité de les consolider, souffle une source diplomatique bien introduite. Toute chose à laquelle la commissaire s’est montrée très réceptive, rapporte notre source. Le message du ministre à son endroit a été particulièrement appréciée et elle en a profité pour, à son tour, saluer le partenariat avec le Bénin et les réformes déployées actuellement dans le pays, poursuit la source jointe par notre rédaction. Il n’est pas à exclure des rencontres futures entre les deux parties. Devrait-on y voir une preuve supplémentaire des bons rapports entretenus par Cotonou et Bruxelles ? Sans aucun doute, surtout quand on sait que dernièrement, le téléphone arabe voyait de ce côté-là, des signes de fébrilité.
La participation de la délégation béninoise conduite par le ministre des Affaires étrangères et de la Coopération au neuvième sommet des chefs d’État et de gouvernement Acp, les 9 et 10 décembre à Nairobi au Kenya a été l’occasion pour elle d’avoir des discussions avec de hautes personnalités du milieu diplomatique. Au nombre de celles-ci, les échanges avec Jutta Pauliina Urpilainen, commissaire européen aux partenariats internationaux.
Ce n’est pas la première que de hautes personnalités béninoises, notamment les membres du gouvernement et plus particulièrement le ministre des Affaires étrangères et de la Coopération, Aurélien Agbénonci assurent des échanges parallèles à leurs participations à des rencontres internationales. On l’a souvent vu se prêter à cet exercice, du moins bénéfique pour la diplomatie béninoise, qui lui donne l’occasion d’affermir ses rapports avec tel ou tel milieu, ou mieux, d’engager des discussions avec certains milieux. Nairobi n’aura pas échappé à cette tradition, avec la particularité que Aurélien Agbénonci a eu une brève entrevue avec Jutta Pauliina Urpilainen, commissaire européen aux partenariats internationaux. Ce moment d’échange entre les deux personnalités était empreinte de courtoisie et d’écoute mutuelle. Le ministre des Affaires étrangères et de la Coopération en a profité pour rappeler l’excellente qualité des relations avec l’Union européenne et la nécessité de les consolider, souffle une source diplomatique bien introduite. Toute chose à laquelle la commissaire s’est montrée très réceptive, rapporte notre source. Le message du ministre à son endroit a été particulièrement appréciée et elle en a profité pour, à son tour, saluer le partenariat avec le Bénin et les réformes déployées actuellement dans le pays, poursuit la source jointe par notre rédaction. Il n’est pas à exclure des rencontres futures entre les deux parties. Devrait-on y voir une preuve supplémentaire des bons rapports entretenus par Cotonou et Bruxelles ? Sans aucun doute, surtout quand on sait que dernièrement, le téléphone arabe voyait de ce côté-là, des signes de fébrilité.