Selon la conclusion d’un rapport avisé sur la question « L’influence de l’homme sur le système climatique est claire et en augmentation, avec des incidences observées sur tous les continents. Si on ne les maîtrise pas, les changements climatiques vont accroître le risque de conséquences graves, généralisées et irréversibles pour l’être humain et les écosystèmes ». Si l’on en juge par la manière dont la Cop 26 a pris fin, il faut craindre que tous les dirigeants ne soient en phase avec l’urgence qu’intiment les enjeux climatiques. Le danger, pourtant, est là et nous pend au nez !
Les changements climatiques ? Ce sont les oiseaux qui rapetissent en Amazonie à cause du réchauffement climatique, car la température terrestre se modifie en raison de la hausse des concentrations des gaz à effet de serre, c’est aussi l’équilibre thermique de la Terre qui est modifiée. Et selon les experts, sur le plan statistique, il est possible de prouver que le réchauffement mondial augmente la probabilité de phénomènes météorologiques extrêmes. La météo, les glaciers, les océans, la couche d’ozone, la biodiversité, l’économie, la santé, les dérèglements climatiques impactent tous les aspects de notre vie.
Pour ceux qui en doutent encore, les conséquences directes du changement climatique provoqué par l’activité humaine sont perceptibles avec la hausse de la température des océans, la hausse du niveau de la mer, l’acidification des océans due aux concentrations élevées dans l’eau en raison de la hausse notamment des concentrations de CO2, l’intensification des précipitations (fortes pluies et grêle), le recul et la fonte des glaciers…. Et indirectement, il faut compter avec l’augmentation des crises alimentaires et de l’eau, notamment dans les pays en voie de développement, les risques sanitaires en raison de la hausse des températures et des vagues de canicule, la perte de la biodiversité en raison de la capacité et de la vitesse d’adaptation limitées de la faune et de la flore, la prolifération des nuisibles et des maladies. Aussi, l’Oms estime que de 2030 à 2050, si des actions hardies ne sont pas entreprises, le changement climatique engendrera 250 000 morts par an, principalement à cause de la malnutrition, la malaria, la diarrhée et le stress thermique…
Tel est le tableau de bord, la situation de notre grosse boule bleue qui signale un électrocardiogramme plat si l’on n’y prend garde ! Cependant, à l’action qui s’impose, certains dirigeants opposent l’inaction, comme on a pu le noter encore à Glasgow où la conférence mondiale sur les changements climatiques a accouché d’une souris. En attendant que l’irréparable ne se produise ? Les cris de détresse du Secrétaire général de l’Onu, Antonio Guterres, sont restés comme de l’eau jetée sur dos de canard.
Selon la conclusion d’un rapport avisé sur la question « L’influence de l’homme sur le système climatique est claire et en augmentation, avec des incidences observées sur tous les continents. Si on ne les maîtrise pas, les changements climatiques vont accroître le risque de conséquences graves, généralisées et irréversibles pour l’être humain et les écosystèmes ». Si l’on en juge par la manière dont la Cop 26 a pris fin, il faut craindre que tous les dirigeants ne soient en phase avec l’urgence qu’intiment les enjeux climatiques. Le danger, pourtant, est là et nous pend au nez !
Les changements climatiques ? Ce sont les oiseaux qui rapetissent en Amazonie à cause du réchauffement climatique, car la température terrestre se modifie en raison de la hausse des concentrations des gaz à effet de serre, c’est aussi l’équilibre thermique de la Terre qui est modifiée. Et selon les experts, sur le plan statistique, il est possible de prouver que le réchauffement mondial augmente la probabilité de phénomènes météorologiques extrêmes. La météo, les glaciers, les océans, la couche d’ozone, la biodiversité, l’économie, la santé, les dérèglements climatiques impactent tous les aspects de notre vie.
Pour ceux qui en doutent encore, les conséquences directes du changement climatique provoqué par l’activité humaine sont perceptibles avec la hausse de la température des océans, la hausse du niveau de la mer, l’acidification des océans due aux concentrations élevées dans l’eau en raison de la hausse notamment des concentrations de CO2, l’intensification des précipitations (fortes pluies et grêle), le recul et la fonte des glaciers…. Et indirectement, il faut compter avec l’augmentation des crises alimentaires et de l’eau, notamment dans les pays en voie de développement, les risques sanitaires en raison de la hausse des températures et des vagues de canicule, la perte de la biodiversité en raison de la capacité et de la vitesse d’adaptation limitées de la faune et de la flore, la prolifération des nuisibles et des maladies. Aussi, l’Oms estime que de 2030 à 2050, si des actions hardies ne sont pas entreprises, le changement climatique engendrera 250 000 morts par an, principalement à cause de la malnutrition, la malaria, la diarrhée et le stress thermique…
Tel est le tableau de bord, la situation de notre grosse boule bleue qui signale un électrocardiogramme plat si l’on n’y prend garde ! Cependant, à l’action qui s’impose, certains dirigeants opposent l’inaction, comme on a pu le noter encore à Glasgow où la conférence mondiale sur les changements climatiques a accouché d’une souris. En attendant que l’irréparable ne se produise ? Les cris de détresse du Secrétaire général de l’Onu, Antonio Guterres, sont restés comme de l’eau jetée sur dos de canard.