Que nous disent les échos de l’actualité lorsque nous tendons l’oreille ? Ils nous renseignent que ne s’arrange pas vraiment le dossier judiciaire d’une personnalité féminine dont un député ne s’embarrasse pas de célébrer la beauté urbi et orbi. Une belle dans les geôles de Missérété, il faut avouer que ça ne fait pas vraiment glamour ! Mais c’est la loi, et elle est dure et même aveugle, pour peu que l’on se retrouve dans ses méandres, dans la gadoue de laquelle elle met un point d’honneur à vous en extraire.
Sans s’étaler sur un dossier pendant devant la justice, car cela n’est pas permis, relevons deux problématiques y relatives et qui défraient la chronique : une transaction financière dont la finalité est querellée en raison du moment de ladite transaction. Puis, est aussi problématique, semble-t-il, la finalité de messages qui se sont trompés de destinataire et qui se veulent par essence équivoques ou univoques selon les traductions que l’on veut bien faire suivant ses positions…
Casse-tête qui n’arrange pas lorsqu’on est en position de prévenu, certes jouissant de la présomption d’innocence !
Pendant ce temps, les brèves de comptoirs se laissent aller à croire, qu’il n’aura pas suffi que notre belle soit recalée par l’instance habilitée, pour défaut de parrainages requis ! Au Bénin, des cancans c’est-à-dire des ‘’kpakpato’’ comme disent les Ivoiriens, où l’on aime à fouiner pour connaitre les secrets d’alcôves, à savoir ce qui se trame sous la chaumière du voisin, il faut avouer que le terrain est tout fertile pour toutes les déformations et spéculations ! On le voudra que rien on n’y pourra changer, car ainsi sont faites nos sociétés, qui en viennent à penser une chose puis le contraire, au gré des vicissitudes de la vie, des circonvolutions du moment, des inconstances du temps.