L’éditorial de Paul Amoussou: Think tank au sommet de l’État

Par Marius IBIKOUNLE,

  Rubrique(s): Actualités |   Commentaires: Commentaires fermés sur L’éditorial de Paul Amoussou: Think tank au sommet de l’État

L'éditorial de Paul Amoussou

Jamais, réunions du Conseil des ministres n’auront été aussi productives, que sous Patrice Talon. Ainsi dit, on pourrait vous tancer d’être une groupie de Talon, de ses fanatiques, aficionados qui ont une vision édulcorée de son action à la tête du Bénin. Il suffit cependant d’observer avec attention et sans a priori sa gouvernance pour se convaincre de ce qu’il déploie une véritable débauche d’énergie au service du pays. Elle est sans commune mesure avec ce qu’ont pu faire ses prédécesseurs.
Aux plus sceptiques à cette thèse chez qui les réalisations infrastructurelles ne suffisent pas à forger cette conviction, il faut ajouter toutes les œuvres de restructuration accomplies dans maints secteurs : économie, santé, société, culture, écologie, etc. Même l’état d’esprit chez l’homo Béninois a été impacté ! Positivement. Quant aux réformes législatives, toutes choses qui valent satisfecit, il faut les avoir pensées, les mûrir, pour les porter même devant un parlement tout acquis. Et c’est là de façon intrinsèque le mérite du gouvernement Talon, qui dispose à cette fin d’ailleurs d’un bras super armé qu’est le Bureau d’analyse et d’investigation de la Présidence, ajouté à d’autres unités, chevilles ouvrières, qui constituent de véritables thinks tanks comme jamais on en a connu au Bénin. C’est peut-être l’une des clés de la réussite de ce régime dont l’une des caractéristiques est le fourmillement d’idées et d’ingéniosité pour faire progresser le pays. Car, il faut bien penser au recouvrement des amendes pénales, comme l’a relevé le dernier Conseil des ministres, faire en sorte que les échappées belles relèvent désormais du passé, et surtout requinquer cet organe pour lui donner plus d’efficacité… De ces exemples, il en existe à foison. Il suffit de passer en revue les relevés des Conseils des ministres depuis 2016 pour s’en convaincre. Et quitte à devenir un aficionado de la gouvernance Talon, il suffirait de se livrer à un exercice comparatif avec les gouvernements antérieurs, pour toucher du doigt la qualité des actions entreprises actuellement à la tête du pays.

LIRE AUSSI:  Suite aux résolutions du dialogue politique: Une révision de la Constitution pour sortir de l’impasse

Jamais, réunions du Conseil des ministres n’auront été aussi productives, que sous Patrice Talon. Ainsi dit, on pourrait vous tancer d’être une groupie de Talon, de ses fanatiques, aficionados qui ont une vision édulcorée de son action à la tête du Bénin. Il suffit cependant d’observer avec attention et sans a priori sa gouvernance pour se convaincre de ce qu’il déploie une véritable débauche d’énergie au service du pays. Elle est sans commune mesure avec ce qu’ont pu faire ses prédécesseurs.
Aux plus sceptiques à cette thèse chez qui les réalisations infrastructurelles ne suffisent pas à forger cette conviction, il faut ajouter toutes les œuvres de restructuration accomplies dans maints secteurs : économie, santé, société, culture, écologie, etc. Même l’état d’esprit chez l’homo Béninois a été impacté ! Positivement. Quant aux réformes législatives, toutes choses qui valent satisfecit, il faut les avoir pensées, les mûrir, pour les porter même devant un parlement tout acquis. Et c’est là de façon intrinsèque le mérite du gouvernement Talon, qui dispose à cette fin d’ailleurs d’un bras super armé qu’est le Bureau d’analyse et d’investigation de la Présidence, ajouté à d’autres unités, chevilles ouvrières, qui constituent de véritables thinks tanks comme jamais on en a connu au Bénin. C’est peut-être l’une des clés de la réussite de ce régime dont l’une des caractéristiques est le fourmillement d’idées et d’ingéniosité pour faire progresser le pays. Car, il faut bien penser au recouvrement des amendes pénales, comme l’a relevé le dernier Conseil des ministres, faire en sorte que les échappées belles relèvent désormais du passé, et surtout requinquer cet organe pour lui donner plus d’efficacité… De ces exemples, il en existe à foison. Il suffit de passer en revue les relevés des Conseils des ministres depuis 2016 pour s’en convaincre. Et quitte à devenir un aficionado de la gouvernance Talon, il suffirait de se livrer à un exercice comparatif avec les gouvernements antérieurs, pour toucher du doigt la qualité des actions entreprises actuellement à la tête du pays.

LIRE AUSSI:  Renoncement à la présidence de la Cour constitutionnelle : Le sens de la démission de Joseph Djogbénou