Alors que les lampes étaient allumées jusqu’à leur coucher, le préfet du département du Mono et les siens ont été contraints de passer le reste de la soirée du mardi 12 au mercredi 13 octobre dernier dans le noir.
La faute incombe à des individus non encore identifiés venus soustraire frauduleusement le compteur des installations électriques de la résidence de l’autorité.
Ce vol plutôt insolite pose avec acuité la problématique relative à la sécurisation des installations électriques des domaines publics. Notamment, le cas des lampadaires dont certains sont hors de service parce que privés soit de leur batterie, soit d’autres organes. Toutes choses facilitant les agissements des hors-la-loi?