La Nation Bénin...
Le
président de la Cour constitutionnelle, le professeur Cossi Dorothé Sossa, a
reçu en audience, jeudi 19 septembre dernier, une délégation du Centre
d’arbitrage, de médiation et de conciliation du Bénin (Camec-Bénin), conduite
par son président, Alain Louis Coovi
Amoussoukpèvi. Cette visite s’inscrit dans le cadre des préparatifs de la
rentrée officielle du Camec-Bénin, prévue pour le jeudi 10 octobre prochain.
Créé
en 2003 sous l’impulsion et le leadership de l’actuel président de la Cour
constitutionnelle, alors ministre de la Justice, le Camec-Bénin a pour mission
d’assister les entreprises dans le règlement de leurs litiges, afin que ceux-ci
ne deviennent pas une source de graves difficultés pour elles. Dans la
perspective d'une vaste campagne de sensibilisation et de promotion prévue pour
2025, le Camec-Bénin effectuera sa rentrée officielle le 10 octobre prochain.
Cet événement réunira les parties prenantes et diverses institutions, avec pour
objectif de renforcer la visibilité du Camec-Bénin et d’améliorer sa
contribution à la sécurisation de l’environnement des affaires.
«
Nous sommes venus présenter ce projet au président de la Cour constitutionnelle
pour solliciter son appui. A notre grande satisfaction, le président s'est
montré très engagé et disponible pour nous accompagner, non seulement dans
l'organisation de cet événement, mais également pour les initiatives futures
que le Camec-Bénin entreprendra, notamment dans le cadre de ses échanges avec
les parties prenantes et les entreprises, afin de mieux sécuriser
l’environnement des affaires », a déclaré Alain Louis Coovi Amoussoukpèvi, à
l’issue de l’audience. Il était accompagné de l’actuel vice-président de la
Chambre de commerce et d’industrie du Bénin (Cci Bénin), du secrétaire général
et de la secrétaire permanente du Camec-Bénin. Il a également souligné que le
président Cossi Dorothé Sossa leur a prodigué de précieux conseils pour la
réussite de leur mission. « Nous avons été ravis des recommandations du
président. Il a ouvert des perspectives encore plus vastes que celles
auxquelles nous avions pensé en termes de potentiel et de force du Camec-Bénin
», s’est réjouie la délégation■