La Nation Bénin...
En visite à la Zone
industrielle de Glo-Djigbé (Gdiz) ce mardi 18 février, Janvier Yahouédéou,
ministre conseiller aux Services publics et coordinateur du collège des
ministres conseillers, a lancé un appel à l’opposition, en particulier à
l’ancien président Boni Yayi. Il les invite à venir constater sur le terrain
l’impact des investissements réalisés sous l’impulsion du président Patrice
Talon.
La Gdiz est aujourd’hui l’un des symboles les plus visibles de l’ambition industrielle du Bénin. Lors de sa visite, Janvier Yahouédéou a tenu un discours appuyé, exhortant les leaders de l’opposition, notamment Boni Yayi, à venir voir de leurs propres yeux les réalisations accomplies.
« Cette zone industrielle existe grâce à la vision du chef de l’État, Patrice Talon. J’invite le président Boni Yayi et les ténors de l’opposition à s’y rendre pour constater les avancées sur le terrain », a-t-il déclaré.
Il insiste sur le fait que cette démarche ne relève pas d’un enjeu politique, mais plutôt d’une prise de conscience collective sur l’ampleur de la transformation économique en cours. « On peut ne pas partager la même vision politique, mais reconnaître les progrès accomplis. J’aimerais que l’opposition vienne voir par elle-même ces évolutions, qui renforcent aussi l’image du Bénin à l’international », a-t-il ajouté.
Tout au long de la visite, le ministre conseiller a mis en lumière les avancées majeures de la Gdiz. Ce pôle attire des investisseurs internationaux et favorise l’industrialisation locale, permettant au Bénin de transformer ses matières premières sur place au lieu de les exporter à l’état brut.
« J’invite tous les Béninois à venir visiter la zone pour comprendre ce que devient le soja qu’ils cultivent, comment sont valorisés le cajou et le coton. Il est essentiel que chacun mesure l’impact concret de ces transformations », a-t-il souligné.
En appelant Boni Yayi et
l’opposition à visiter la Gdiz, Janvier Yahouédéou plaide pour une
reconnaissance collective des efforts entrepris. Selon lui, cette unité nationale
autour des réalisations économiques pourrait encore accélérer la dynamique de
développement engagée.