La Nation Bénin...
Des
centaines de jeunes du parti Bloc républicain ont pris d’assaut l’esplanade de
la place Amazone pour exprimer leur gratitude au président Patrice Talon pour
son efficacité dans la gouvernance au sommet de l’Etat. Abdoulaye Bio Tchané
ainsi que plusieurs cadres et personnalités du parti dont la députée Chantal
Ayi, ont accueilli le message de la jeunesse, ce dimanche 19 mai.
«
Depuis 2016, le gouvernement de notre pays s’emploie à bâtir un Bénin moderne
». Telle est la conviction des jeunes du parti Bloc républicain qui ont
manifesté leur satisfaction quant à la gestion faite du pays par le président
Patrice Talon, et assurent assumer d’ores et déjà son bilan.
Ils
relèvent notamment les réformes dans les ordres d’enseignement,
l’assainissement du système sanitaire suivi du renforcement du plateau
technique, la modernisation du secteur agricole, la réforme du système
partisan, la simplification de la vie aux usagers de l’administration publique
à travers la dématérialisation des services.
Ce
sont autant de chantiers conduits avec succès sous le leadership du président
Patrice Talon, selon les jeunes du parti Bloc républicain. « Quand vous avez
l'occasion de visiter la zone industrielle de Glo-Djigbé, vous tombez
d'admiration pour le gouvernement du président Talon. Vous constatez que c'est
une réponse parfaitement adaptée aux problèmes de l'économie de notre pays, au
problème de compétitivité de notre pays. C'est une réponse aux attentes des
jeunes du Bénin », a déclaré Grâce Houssou, étudiante en 5e année de médecine
générale à la Faculté des sciences de la santé. A en croire Michaël Yacoubou,
étudiant, par delà les mutations opérées, l’école devient progressivement ce
lieu unique où les relations humaines sont libérées des instincts barbares et
de la lutte de chacun contre tous. En moins d’une décennie, insiste-t-il,
l’école béninoise est redevenue un lieu sans égal qui crée la seule communauté
acceptable, celle de la transmission de la connaissance et du respect de
l’autre, et plus que jamais prête à assumer son rôle de premier vecteur de
l’intégration sociale. «Et parce qu'il n'y a pas d'ambition nationale sans
solidarité nationale, le gouvernement de la Rupture s'est évertué depuis huit
années à rechercher l'équilibre indispensable entre la quête d'efficacité
économique et la quête de solidarité », a ajouté Flora Babadoudou, étudiante en
science de l’éducation et de la formation.