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Lutte contre la désertification et la sécheresse: La problématique du genre dans la restauration de la biodiversité

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Les femmes sont les plus impactées par les conséquences de la désertification et de la sécheresse Les femmes sont les plus impactées par les conséquences de la désertification et de la sécheresse

La 29e édition de la Journée mondiale de lutte contre la désertification et la sécheresse a été célébrée, ce samedi 17 juin. C’est sous le thème « Femme. Sa terre. Ses droits. Faire progresser l'égalité des sexes et les objectifs de restauration des terres ». Au Bénin, c’est à Bounandou, une localité de l’arrondissement d’Ina, dans la commune de Bembèrèkè, que l’évènement a officiellement été célébré vendredi 16 juin dernier. 

Par   Maurille GNASSOUNOU A/R Borgou-Alibori, le 21 juin 2023 à 13h57 Durée 2 min.
#désertification #sécheresse
La localité de Bounandou, dans la commune de Bembèrèkè, a eu l’honneur d’accueillir, vendredi 16 juin dernier, les manifestations officielles sur le plan national, de la Journée mondiale de la lutte contre la désertification et la sécheresse. « Femme. Sa terre. Ses droits. Faire progresser l'égalité des sexes et les objectifs de restauration des terres », tel est le thème sous lequel la célébration a été placée. Il pose la problématique du genre dans la restauration de la biodiversité face aux conséquences du changement climatique sur l’humanité.
Selon Rémi Hêfoumè, directeur général des Eaux, Forêts et Chasse et représentant du ministre en charge du Cadre de vie, il s’agit de sensibiliser à l’impact disproportionné de la désertification, la dégradation des terres et la sécheresse sur les femmes et les filles. Un autre objectif de cette célébration, poursuit-il, est de mettre en évidence des exemples réussis de contributions des femmes et des filles, à la gestion durable des terres.
Quant au secrétaire général de la préfecture de Parakou, Sanni Bio Bayé, il a appelé les populations à reconnaître le rôle capital joué par les femmes et les filles dans la restauration des terres et la résilience face à la sécheresse. Elles doivent être, selon lui, soutenues dans ce sens.
En marge de cette célébration, plus de 2 000 plants de différentes espèces ont été mis en terre. C’est sur une superficie de 2 ha, dans la forêt communale de Bounandou.

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