La Nation Bénin...
Conrad
Gbaguidi, président du Conseil économique et social (Ces), est sollicité par
diverses organisations depuis son installation à la tête de l’institution. Dans
l’après-midi de ce mercredi 26 mars, c’est au tour des responsables du Centre
d’Arbitrage, de Médiation et de Conciliation (CAMeC-Bénin) et de la
Confédération nationale des employeurs du Bénin (Coneb) d’être reçus dans son
cabinet.
Deux audiences accordées par Conrad Gbaguidi, président du Conseil économique et social, ce mercredi 26 mars, et chacun des acteurs est reparti satisfait des échanges, nourrissant l’espoir d’une coopération fructueuse avec les nouvelles autorités de l’institution. « Nous avons fait un certain nombre de propositions au président du Conseil économique et social. C'est d'abord d'être le relais au niveau des entreprises sur le plan national. Nous avons la capacité de toucher les entreprises directement là où elles se trouvent et cela a été une première piste de réflexion », a indiqué Albin Fèliho, président de la Confédération nationale des employeurs du Bénin (Coneb). Il ajoutera que la seconde piste de réflexion est relative à une liste de projets soumise à son appréciation par la Coneb notamment en matière de croissance et de développement inclusif, de lutte contre le travail des enfants. Aussi, la Coneb a fait part au président Conrad Gbaguidi de la mise en place d’un écosystème numérique. Ce projet a été passé en revue, selon le président de la Coneb, et rendez-vous pris pour justement lui donner un contenu réel et faire avancer les choses. « Nous avons reçu un avis favorable d'accompagnement avec un appui institutionnel du Ces », fait savoir Albin Fèliho.
Deux
audiences accordées par Conrad Gbaguidi, président du Conseil économique et
social, ce mercredi 26 mars, et chacun des acteurs est reparti satisfait des
échanges, nourrissant l’espoir d’une coopération fructueuse avec les nouvelles
autorités de l’institution. « Nous avons fait un certain nombre de propositions
au président du Conseil économique et social. C'est d'abord d'être le relais au
niveau des entreprises sur le plan national. Nous avons la capacité de toucher
les entreprises directement là où elles se trouvent et cela a été une première
piste de réflexion », a indiqué Albin Fèliho, président de la Confédération
nationale des employeurs du Bénin (Coneb). Il ajoutera que la seconde piste de
réflexion est relative à une liste de projets soumise à son appréciation par la
Coneb notamment en matière de croissance et de développement inclusif, de lutte
contre le travail des enfants. Aussi, la Coneb a fait part au président Conrad
Gbaguidi de la mise en place d’un écosystème numérique. Ce projet a été passé
en revue, selon le président de la Coneb, et rendez-vous pris pour justement
lui donner un contenu réel et faire avancer les choses. « Nous avons reçu un
avis favorable d'accompagnement avec un appui institutionnel du Ces », fait
savoir Albin Fèliho.
Même enchantement chez Alain Amoussoukpèvi, président du Centre d’Arbitrage, de Médiation et de Conciliation (CAMeC-Bénin) dont la délégation est allée présenter ses missions au président du Ces. « Nous lui avons présenté notre institution qui est un outil puissant au service de l’environnement économique. Nous l’avons aussi sollicité pour être notre porte-voix parce que les pouvoirs publics jusque-là n'arrivent pas vraiment à percevoir l'impact que peut avoir un outil aussi intéressant dans l'environnement des affaires dans notre pays. On parle de justice commerciale et c’est un élément prépondérant », a déclaré Alain Amoussoukpèvi. Il précise que le Centre d’arbitage est un organe de la Chambre de commerce et d'industrie du Bénin dont le rôle est de régler les litiges à travers les modes alternatifs de règlement des litiges. En général, il s’agit de faciliter le règlement des litiges au niveau des acteurs économiques afin d'éviter qu’ils soient des causes de grandes difficultés ou même de disparition de ces entreprises. « Nous mettons à la disposition des acteurs du secteur économique des arbitres des médiateurs qui les conduisent dans un processus qui permet de régler de façon rapide, très efficace et à coût vraiment réduit le litige », a-t-il expliqué.