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Revue annuelle du plan d’assistance au Développement : Pour un meilleur suivi des actions identifiées

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Par   zounars, le 26 nov. 2015 à 05h31

Revue annuelle du plan d’assistance au Développement : Pour un meilleur suivi des actions identifiées

Le ministère du Travail et de la Fonction publique a organisé, mercredi 25 novembre à Cotonou, la revue annuelle du Plan cadre d’assistance au Développement du Système des Nations Unies (Undaf) 2014-2018. Elle vise à évaluer le niveau d’exécution des actions identifiées et faire par la même occasion des projections dans le but d’atteindre les objectifs initialement fixés.

Depuis mercredi 25 novembre, se tient la revue annuelle de l’effet 5 du Plan cadre d’assistance au Développement du Système des Nations Unies (Undaf) 2014-2018. Cet atelier réunit les acteurs devant contribuer à ce que d’ici fin 2018, les institutions nationales et locales appliquent les bonnes pratiques et principes de gouvernance inclusive transparente. Ce plan est axé essentiellement sur la gouvernance-participation et la décentralisation.

Selon Izbath Djaboutouboutou, présidente du comité de pilotage de la composante dudit programme, cet atelier vise à apprécier l’évolution des différentes activités. Il s’agira d’analyser les difficultés, d’identifier des approches de solutions et de formuler des recommandations. Lesquelles recommandations, a-t-elle poursuivi, visent à accélérer la mise en œuvre des différents plans de travail annuel. La mise en place des ressources à temps est le véritable problème auquel fait face ce comité de pilotage et cela agit sur le rendement des résultats attendus. Il était également question de se pencher sur les stratégies visant à renforcer le cadre juridique et institutionnel du comité de pilotage, ceci dans le but d’assurer la veille stratégique permanente dans la mise en œuvre des différents plans de travail annuel.
Pour Gilbert Poumangue, Représentant résident adjoint du Programme des Nations Unies pour le développement (Pnud), le soutien de son institution à ce programme se justifie par le fait que ledit projet répond à l’application des bonnes pratiques et bons principes de gouvernance inclusive et redevable des institutions nationales et locales. «Le Pnud fait et promeut la bonne gouvernance en vue d’en faire un vecteur de développement. C’est pourquoi chaque fois que le besoin se fait sentir, l’institution s’investit pour permettre son effectivité et procède de ce fait à de nombreuses réformes», indique Gilbert Poumangue.
Pour sa part, Amidou Adamou, directeur de cabinet du ministre du Travail et de la Fonction publique, s’est focalisé sur de nombreuses réformes politiques, économiques, administratives et institutionnelles. Selon lui, l’atelier permet d’assurer une concertation entre les acteurs impliqués, d’évaluer les performances par rapport aux objectifs fixés et d’identifier les opportunités programmatiques pour consolider les acquis ¦