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En audience à la Cour constitutionnelle: L’Odem annonce des Journées d’éthique et de déontologie

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La délégation de l’Odem en compagnie du président  de la Cour constitutionnelle La délégation de l’Odem en compagnie du président de la Cour constitutionnelle

Les professionnels des médias du Bénin seront bientôt conviés à des Journées d’éthique et de déontologie (Jed). L’initiative vient de l’Odem qui l’a annoncée, vendredi 21 juillet dernier, par le biais de son vice-président, lors de son audience à la Cour constitutionnelle.

Par   Désiré G. TCHOKPONHOUE (Stag.), le 31 juil. 2023 à 08h03 Durée 3 min.
#Odem
L’Odem innove. Du 24 août au 24 septembre 2023, l’Observatoire de déontologie et d’éthique dans les médias organise la première édition des Jed. Prévues pour démarrer par une conférence inaugurale, elles visent à réunir les journalistes ainsi que le public pour échanger avec eux, sur la déontologie et l’éthique dans les médias. Suivra ensuite une série de visites dans les écoles, universités et autres centres de formation des journalistes pour échanger avec eux. C’est la principale information portée par la délégation de l’Odem qui était, vendredi dernier, au cabinet du président de la Cour constitutionnelle. Composée de Firmin Gbèkan, Tanguy Agoï et Ulrich Gaba, la délégation est allée faire ses civilités au président Dorothé Sossa et partager sa vision avec lui.  A leur sortie d’audience, Firmin Gbèkan a fait savoir au nom de ses pairs que les échanges ont été fructueux et très enrichissants. « Le président Dorothé Sossa nous a mis devant nos responsabilités. Il nous a promis de nous accompagner sur ce chantier car une telle initiative mérite d’être accompagnée », s’est réjoui le chef de la délégation. 
Installée le 3 mai dernier, la 9e mandature de l’Odem entend faire les choses autrement. Les membres ont pris « l’engagement de redorer le blason de ce tribunal des pairs ». Le porte-parole de la délégation a fait savoir que leur objectif est de mettre les hommes des médias dans un environnement de travail favorable. « Il ne peut y avoir développement, sans une presse qui a conscience de son rôle et le joue convenablement », 
conclut-il.