La Nation Bénin...
La
préfecture de Parakou, dans le département du Borgou, a servi de cadre à
l’atelier d’évaluation du Programme annuel d’assistance-conseils aux communes (Paac)
2024 et de pré-validation du projet de 2025, vendredi 06 décembre dernier.
L’occasion a également permis de présenter les six étapes d’élaboration dudit
programme, selon le nouveau guide.
Au
cours de la séance de travail, qui a eu lieu vendredi dernier à la préfecture
de Parakou, le Programme annuel d’assistance conseils aux communes (Paac) 2024
dans le département du Borgou a été passé au scanner. Ensuite, le projet de
Paac 2025 a fait l’objet d’une pré-validation. C’était sous la présidence du
préfet du département.
Dans
le but d’apporter un appui technique aux communes, il a été institué par le
législateur, une mission d’assistance-conseils. Elle incombe au préfet, en sa
qualité d’autorité de tutelle. A travers les cadres de sa préfecture et des
services déconcentrés, il met l’expertise de l’Etat à la disposition des
communes de son département, en vue de l’exercice de leurs compétences. C’est
dans ce cadre que le Paac est élaboré et exécuté chaque année au niveau du
département, a expliqué le préfet du Borgou, Djibril Mama Cissé, procédant à
l’ouverture des travaux. Il fait l’objet, précise le préfet, d’un document qui
comporte l’ensemble des activités à mettre en œuvre pour les besoins de la cause.
La
présente rencontre a connu la participation des représentants des directeurs
des services déconcentrés de l’Etat, des secrétaires exécutifs et cadres
techniques des mairies. Ils ont fait le point de la mise en œuvre du Paac 2024
au vendredi 06 décembre dernier et relevé les difficultés qui l’ont entravée.
Ils ont également envisagé les perspectives afin que le Paac 2025 puisse
connaître un taux de réalisation satisfaisant.
En attendant les derniers points, à la date du vendredi 06 décembre dernier, le Paac est exécuté à un taux de 82,06 % dans le Borgou. Comme difficultés rencontrées, il y a la lenteur dans le transfert des ressources allouées aux structures, l’insuffisance des moyens financiers et matériels alloués à l’assistance-conseils. La lourdeur dans la transmission des points d’exécution du Paac et le chevauchement des missions ne sont également pas à occulter.
Au
cours de la séance de travail, qui a eu lieu vendredi dernier à la préfecture
de Parakou, le Programme annuel d’assistance conseils aux communes (Paac) 2024
dans le département du Borgou a été passé au scanner. Ensuite, le projet de
Paac 2025 a fait l’objet d’une pré-validation. C’était sous la présidence du
préfet du département.
Dans
le but d’apporter un appui technique aux communes, il a été institué par le
législateur, une mission d’assistance-conseils. Elle incombe au préfet, en sa
qualité d’autorité de tutelle. A travers les cadres de sa préfecture et des
services déconcentrés, il met l’expertise de l’Etat à la disposition des
communes de son département, en vue de l’exercice de leurs compétences. C’est
dans ce cadre que le Paac est élaboré et exécuté chaque année au niveau du
département, a expliqué le préfet du Borgou, Djibril Mama Cissé, procédant à
l’ouverture des travaux. Il fait l’objet, précise le préfet, d’un document qui
comporte l’ensemble des activités à mettre en œuvre pour les besoins de la cause.
La
présente rencontre a connu la participation des représentants des directeurs
des services déconcentrés de l’Etat, des secrétaires exécutifs et cadres
techniques des mairies. Ils ont fait le point de la mise en œuvre du Paac 2024
au vendredi 06 décembre dernier et relevé les difficultés qui l’ont entravée.
Ils ont également envisagé les perspectives afin que le Paac 2025 puisse
connaître un taux de réalisation satisfaisant.
En attendant les derniers points, à la date du vendredi 06 décembre dernier, le Paac est exécuté à un taux de 82,06 % dans le Borgou. Comme difficultés rencontrées, il y a la lenteur dans le transfert des ressources allouées aux structures, l’insuffisance des moyens financiers et matériels alloués à l’assistance-conseils. La lourdeur dans la transmission des points d’exécution du Paac et le chevauchement des missions ne sont également pas à occulter.